Last updated on 6 septembre 2022
Deux jours qui viennent entretenir la mémoire des connaisseurs de la « Fête des Fleurs » des années avant Covid et avant les grands projets de restructuration de la « reine des Pyrénées ».
Au plus près des gens,
touristes et autochtones étaient ravis de côtoyer les oeuvres fleuries décorant la ville. Formes animalières, colorées aux fleurs naturelles. Ces oeuvres sont dues aux talents conjugués des serruriers de la ville et des membres des nombreuses associations de la vallée qui se sont chargés dés la veille de leurs fleurissements. Placées aux quatre coins de la cité, elles faisaient, de part la qualité du fleurissement, l’admiration de tous les passants durant la journée de samedi. La fête avait commencé dés le vendredi soir par la soirée de gala qui a vue l’élection de Miss Fleurs en la personne de Eva Salis et de ses dauphines Anaïs Perrier et Emilie Fabre.
Samedi toute la journée, musiques dans la rue, défilé des associations, participation des groupes folkloriques des Fils de Luchon, le Quadrille Luchonnais, l’école du Centre Equestre…belle ambiance, au sons des bandas et de la Fanfare Luchonnaise, qui comme à son habitude accompagnait la Retraite des Guides à Cheval et leurs légendaires claquements du fouet aux rythmes de la musique composée par Nicolas Sabathé directeur du conservatoire Patrick Sorgel.
Dimanche 22 août les carcasses étaient toujours là, grandement déflorées, mais fières de rappeler que Luchon avait fait la fête. Certains diront que l’ambiance n’était pas celle des fameux « corsos fleuris » en fins de journée de la Fête des fleurs passée, où chacun et chacune participait à la bataille de fleurs entoilés des fils de bombes polyuréthanes multicolores et frappant son voisin à coup de marteau piauleur..!
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