Le président de la CCPHG, Alain Puente, se dit satisfait et heureux des travaux réalisés pour ce premier parcours « historique » sur la commune de Marignac. Mais encore faut-il poursuivre l’effort pour raccorder ce segment à la partie Nord, depuis la gare de Saléchan, point de rencontre des passeurs et des candidats à l’évasion vers le mont du Burat et le village de Bausen en Val d’Aran.
Alain Puente Président du CCPHG :« Nous devons être très scrupuleux sur la retranscription des parcours de chacune des femmes et des hommes qui ont participé à cette tranche de l’histoire de nos vallées, cela prend du temps. Nous allons poursuivre nos efforts il s’agit de tracés pédagogiques, sur lesquels nous souhaitons mettre en exergue des lieux, des éléments remarquables des sites concernés. »
Monsieur le Président, sur les panneaux accompagnant les visiteurs, ainsi que sur le site proposé par les QrCodes, sont en deux langues Français et Espagnol. Sachant que de part et d’autre de la frontière, une même langue est pratiquée (notamment en Val d’Aran) ne serait-il pas opportun de rajouter le « gascon » commun aux deux vallées, et amplement usité à l’époque des faits.
Alain Puente : « Effectivement, il s’agit d’un épisode historique commun entre Comminges et Val d’Aran. Nous avons d’ailleurs amorcé les discussions avec nos collègues et amis du Val d’Aran pour que ce chemin de la Liberté connaisse son prolongement naturel vers le Burat et Bausen. A ce titre, il serait légitime qu’une version gasconne figure sur les panneaux. Mais pour cela, encore faut-il que nous puissions obtenir l’accord des différents partenaires financiers de l’opération «
Extrait du discours inaugural du chemin de la liberté de Marignac par Alain Puente Président de la CCPHG (Communauté des Communes Pyrénées Haut Garonnaise) le 21 Octobre 2022 :
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